« Si mon peuple sur lequel est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché et, je guérirai son pays. » (II Chroniques 7:14)
Voilà un verset qui a maintes fois été cité, chanté, prêché et imprimé. Bien qu’il ne date pas d’hier, il est aussi actuel aujourd’hui que dans les générations précédentes.
Je fus étonnamment surpris des réponses positives reçues depuis la publication de mes positions eschatologiques dans ma chronique précédente. Je ne savais pas qu’autant de pasteurs et leaders partagent les mêmes points de vue que moi. De la vingtaine de commentaires reçus, un seul a manifesté son désaccord.
J’avais l’intention d’apporter une suite dans cette chronique mais je la laisse de côté pour plutôt me concentrer sur une pensée que l’Esprit a déposée sur mon coeur la semaine dernière.
Excusez-moi de vous le rappeler mais pour plusieurs, nous en sommes à notre 10e mois de confinement à cause de ce coronavirus qui ne s’estompe pas. Malgré toutes les consignes, restrictions et tentatives pour le contrôler et l’enrayer, il semble bien que c’est loin d’être terminé! A BIEN Y PENSER, il y a une chose que nos gouvernements n’ont pas proposée … un APPEL à la PRIERE! Et il ne faut pas s’attendre à ce qu’ils le fassent!
Dans la Bible, il y a pourtant des rois paiens qui se sont tournés vers Dieu en temps de crise, Nébucadnetsar et celui de Ninive, pour ne nommer que ceux-là. Peut-être qu’un jour serons-nous témoins d’une telle action dans notre pays?
D’ici ce temps c’est à nous, peuple de Dieu, d’appliquer le remède proposé dans le texte de II Chroniques 7:14. C’est à nous que revient le mandat d’implorer la grâce et la protection de Dieu sur notre société, de demander qu’un éveil spirituel souffle sur notre pays et qu’un grand nombre se tourne vers Celui qui peut transformer les vies.
Au lieu de se demander si ce virus est un jugement de Dieu ou un signe de la fin des temps, appuyons-nous plutôt sur celui qui a libéré son peuple de fléaux dans le passé. A ce que je sache, la prière n’est pas confinée. Alors exerçons le combat spirituel en reconnaissant que notre Dieu est plus fort et plus efficace que tout, même d’un vaccin!