À la lecture des journaux et à l’écoute des nouvelles télévisées ces jours-ci, il est évident que la planète vit une période de turbulences inquiétantes présentement. Des actes de terroristes ici et là, des feux de forêts sans précédent en Australie, des inondations au Québec et ailleurs, et depuis quelques jours, le Coronavirus qui met les pays sur un pied d’alerte. ….
Les marches pour l’environnement se multiplient; les conséquences du refroidissement de la planète nous sont rappelées chaque semaine. … Et chacun de nous pourrait ajouter quelques évènements qui nous préoccupent et qui font de nous des gens négatifs et même fatalistes au sujet de l’avenir.
Cette semaine, Jeanne d’Arc et moi participions à la rencontre de prière de la nouvelle Église Nouvelle Vie – Drummondville. Je me permets donc de vous partager quelques extraits de l’exhortation reçue mercredi soir sur l’importance de la prière.
- Une des raisons pour lesquelles nous prions est que NOUS NE SOMMES PAS FATALISTES!
- Il n’est pas vrai que tout est foutu, qu’il n’y a rien plus rien à faire.
- Nous ne croyons pas à l’impossible! Nous croyons en l’avenir.
- Nous sommes des anti-fatalistes!
- Nous prêchons un message d’espoir. On ne veut pas laisser les gens dans leurs péchés, dans leurs misères et leurs inquiétudes. Nous savons que la prière change les choses! Alors prions!
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Au moment où vous lisez ces lignes, Jeanne d’Arc et moi participons à un Sommet de Prière (de lundi à mercredi) dans un centre de retraite à Granby, en unité avec une cinquantaine de pasteurs et leaders de diverses dénominations. Pour nous, c’est un rendez-vous annuel durant lequel le Seigneur m’a souvent inspiré et révélé ses plans pour l’année. Nous nous attendons à la même chose cette fois-ci’ Je vous en parle la semaine prochaine.
D’ici ce temps, soyez bénis!